"Honnêtement, je ne peux pas croire que je suis en boîte de nuit après tout ce qui s'est passé. C'est comme un rêve!", lançait enthousiaste à l'AFP, Sabrina, 22 ans, chevelure blond cendré et ongles rouges manucurés.
Forcés de baisser le rideau fin octobre, les établissements nocturnes attendaient impatiemment la réouverture, autorisée à 50% de leur capacité, mais gardent la tête froide alors que le nombre de nouvelles contaminations est toujours élevé.