Mohamed Al Amin Al Abyad, militant des droits de l'homme à Zagora, a souligné que cette action découle d'une décision antérieure fixant la superficie maximale à un hectare. Il a également noté que la non-application de cette mesure l'année précédente a eu des conséquences néfastes sur la nappe phréatique, accentuées par les pluies abondantes.
Al Abyad a plaidé en faveur d'une vérification approfondie des documents des agriculteurs, soulignant que de nombreux cas concernent des personnes extérieures à la région qui acquièrent des terres de manière aléatoire. Il a insisté sur la nécessité de renforcer les contrôles pour éviter des conflits fonciers et protéger les terres des autochtones.
Le militant des droits de l'homme a également attiré l'attention sur les zones où la culture est interdite mais persiste, appelant à une application stricte de la décision et à des mesures plus fermes pour préserver les ressources naturelles de la région. La décision globale fixant la superficie maximale vise à protéger les espèces menacées et à maintenir l'équilibre saisonnier des ressources en eau.
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