L'agence flamande du patrimoine examine actuellement quelles "baraques à frites" pourraient être reconnues comme monuments, a indiqué le ministre dans un communiqué, notant que "les friteries contribuent à définir le paysage urbain de nos villages et de nos villes".
"Je veux impliquer activement les autorités locales flamandes dans l'identification des friteries les plus historiques. Il n'est évidemment pas question de tout protéger. Nous ne choisirons que les vraies petites perles", a-t-il ajouté.
Pour être reconnue comme historique, la friterie devra avoir connu une certaine tradition et avoir été exploitée au moins depuis 1985.
La Communauté flamande a reconnu la culture du "fritkot" en 2014. La Fédération Wallonie-Bruxelles a fait de même en 2016, et au printemps 2017, c'était au tour de la Communauté germanophone et de la Région bruxelloise.
Selon des données officielles, la Belgique compte quelque 5.000 friteries sur son territoire. Elle produit chaque année 5 millions de tonnes de pommes de terre transformées et est la première exportatrice mondiale de produits surgelés à base de pommes de terre.
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