Si l'on ajoute les chiffres des pays de l'Association européenne de libre-échange (AELE) (Norvège, Islande, Liechtenstein et Suisse), où les règles de libre circulation de l'UE s'appliquent également, le total passe à 2.830, poursuit la même source.
En effet, cette période a coïncidé avec des confinements et des restrictions de voyage pour limiter la propagation du Covid-19, précise l'Office qui note que les données sur les ressortissants de pays tiers sommés de quitter les États membres de l'UE incluent les personnes en séjour irrégulier dans les États membres qui font l'objet d'une décision administrative ou judiciaire leur imposant le départ.
En d'autres termes, ceux qui ne remplissent pas les conditions de résidence ou de visa ainsi que ceux qui ont reçu l'ordre de partir après avoir commis des crimes, explique Eurostat. Alors que la France était responsable de la plus forte proportion d'ordonnances de congé pour les citoyens non européens, ce sont la Suède et les Pays-Bas qui ont adopté l'approche la plus dure envers les Britanniques.
D'ailleurs, la Suède est responsable de 1.050 des 2.250 ressortissants britanniques sommés de quitter les pays de l'UE entre le premier trimestre 2020 et le troisième trimestre 2022. Pour rappel, le Royaume-Uni a officiellement quitté l'UE à minuit le 31 janvier 2020, mais la libre circulation avec l'UE s'est poursuivie jusqu'au 31 décembre 2020, date à laquelle la période de transition post-Brexit a pris fin.
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