Le rythme et le développement des attaques à l’aide de logiciels d’extorsion augmentent plus rapidement que la capacité des États-Unis à contrer ces attaques, a souligné dimanche un haut responsable de l'administration Biden cité par l'agence Bloomberg.
Plusieurs entreprises prennent part au sommet, dont CrowdStrike Holdings, Mandiant et Microsoft, a indiqué la Maison Blanche. Ces entreprises ont depuis longtemps une visibilité sur l'étendue des cyberattaques, et certaines sont impliquées dans la réponse aux incidents lorsque des entreprises ou des gouvernements sont attaqués.
Les États-Unis continuent de travailler sur la suppression des méthodes de paiement illicites qui rendent les attaques à l’aide de logiciels d’extorsion financièrement viables, notamment par le biais de la crypto-monnaie, a déclaré le responsable américain.
Soulignant un pic d'attaques lorsque Bitcoin est devenu plus largement utilisé, Washington alerte que cette menace est transfrontalière.
En mars dernier, le président américain Joe Biden a signé une législation sur la cybersécurité qui oblige certains secteurs à signaler les violations au département américain de la Sécurité intérieure dans les 72 heures suivant la découverte de l'incident, et 24 heures s'ils effectuent un paiement de ransomware.
De nombreux États exigent également des entreprises qu'elles signalent les violations.
Pourtant, les auteurs d’attaques des ransomwares semblent élargir leurs cibles et continuer à publier les données privées de leurs cibles si leurs demandes ne sont pas satisfaites.
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