La porte-parole de Kaseya, Dana Liedholm, a indiqué que cet outil de déchiffrement provenait d'un "tiers de confiance" et que la société informatique le distribuait à toutes les victimes, sans révéler l'identité de ce tiers ni si une rançon a été payée. À cet égard, la société néo-zélandaise de cybersécurité Emsisoft a confirmé que "la clé est efficace pour débloquer les victimes".
Selon les experts, cette cyberattaque, revendiquée par un groupe de hackers russes, connu sous le nom "REvil", pourrait être considérée comme la plus grande attaque au rançongiciel enregistrée à ce jour.
Le président américain, Joe Biden, avait demandé à son homologue russe, Vladimir Poutine, de cesser de donner refuge aux cybercriminels dont les attaques coûteuses sont considérées par le gouvernement américain comme "une menace pour la sécurité nationale".
Les rançongiciels sont un type de logiciels malveillants qui menacent de publier certaines données de la victime ou d'en bloquer perpétuellement l'accès à moins qu'une rançon, souvent en bitcoin, ne soit payée.
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