Cette prise de position, susceptible de contribuer à mettre fin à ce différend qui n’a que trop duré, est dictée par la realpolitik qui a expérimenté des mutations importantes lors de ce début du siècle prônant des solutions pacifiques et pragmatiques aux conflits, ce qui privilégie l’approche adoptée par le Maroc, a indiqué le directeur de l’Observatoire, Fernando Olivan, dans une déclaration à la MAP.
Par conséquent, a précisé l'académicien constitutionnaliste, l’initiative marocaine d’autonomie pour le Sahara, qualifiée pour Madrid comme ''la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution du différend", s’inscrit dans ce contexte géopolitique et répond aux critères exigés internationalement pour résoudre ce différend artificiel.
De ce fait, Olivan a relevé que le soutien apporté par l’Espagne au plan marocain n’est que le couronnement d’un processus initié en 2007 et qui a abouti à la prééminence de la proposition du Royaume.
Cette position du gouvernement espagnol ouvrira le chemin pour le renforcement de relations bilatérales particulières, appelées à se consolider davantage dans l’intérêt des deux pays, a-t-il dit.
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