Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, s'est exprimé aujourd'hui sur la crise persistante dans le secteur de l'enseignement, appelant les syndicats à un nouveau round de dialogue prévu ce lundi. Face aux tensions liées à l'adoption du nouveau statut des fonctionnaires du secteur, l'Exécutif cherche des solutions pour préserver la qualité de l'école publique. Une commission ministérielle a été mise en place pour traiter les points litigieux du nouveau statut.

Dans un contexte où les grèves des enseignants continuent de secouer le pays, le chef du gouvernement Aziz Akhannouch a réitéré son appel au dialogue lors de l'ouverture du conseil du gouvernement ce jeudi.

Les syndicats de l'éducation nationale, mécontents de l'adoption du nouveau statut des fonctionnaires du secteur, sont invités à participer à un nouveau round de négociations ce lundi. Aziz Akhannouch a souligné la volonté de renforcer les canaux de communication pour trouver des solutions durables à cette crise, soulignant l'importance de préserver la qualité de l'éducation publique.

Une commission ministérielle, présidée par le chef du gouvernement, a été mise en place pour examiner de près les points litigieux du nouveau statut des fonctionnaires de l’Éducation nationale. Cette démarche vise à trouver des compromis et à répondre aux préoccupations des enseignants, tout en garantissant un fonctionnement harmonieux du système éducatif marocain.

L'appel d'Akhannouch à une résolution pacifique de la crise reflète l'engagement de l'Exécutif à mettre en œuvre des réformes éducatives tout en maintenant un dialogue ouvert avec les acteurs clés du secteur. La stabilité de l'éducation nationale demeure une priorité, et l'Exécutif cherche à dépasser les obstacles actuels pour assurer un enseignement de qualité dans tout le pays.