Au cœur de cette déclaration, une affirmation notable de l'importance de trouver une solution au conflit du Sahara marocain conformément aux résolutions et aux paramètres du Conseil de sécurité. Cette solution politique durable est au cœur des préoccupations, confirmant la position marocaine qui souligne régulièrement la nécessité de respecter et de soutenir ce processus conduit exclusivement sous l'égide des Nations Unies.
L'Algérie, qui a tenté de nuire aux intérêts du Royaume, s'est trouvée désavouée par les BRICS. Cette tentative avortée la place une fois de plus dans le cadre de la légalité internationale qu'elle cherche pourtant à transgresser. Les manœuvres d'Alger ont abouti à un appel clair et sans équivoque au respect du processus politique mené sous l'égide exclusive du Conseil de sécurité des Nations Unies.
La position des BRICS illustre le soutien continu de la communauté internationale, y compris de l'ONU et d'autres pays africains, envers l'initiative marocaine d'autonomie. Cette initiative répond pleinement aux paramètres de pragmatisme, de réalisme, de compromis et de durabilité exigés par le Conseil de sécurité. Celui-ci stipule que la reprise du processus politique doit se dérouler dans le cadre des tables rondes, avec la participation pleine et entière du Maroc, de l'Algérie, du Polisario et de la Mauritanie.
Les tentatives visant à inclure cette question dans les débats ont été rejetées par les membres des BRICS, qui n'en ont pas fait mention dans leurs déclarations nationales. Ces pays ont clairement refusé d'être utilisés pour des causes perdues, ne reconnaissant pas l'entité séparatiste. Cette position résonne comme une leçon pour ceux qui persistent à donner une dimension internationale à une vision isolée.
Cette déclaration des BRICS illustre leur attachement à leurs relations et partenariats stratégiques avec le Maroc, malgré les interférences étrangères. Le Royaume possède des partenariats stratégiques avec trois des cinq pays des BRICS et entretient des relations dynamiques avec le Brésil, englobant des aspects politiques, économiques, agricoles et commerciaux.
Par ailleurs, le Sommet a officialisé le rejet humiliant de la candidature algérienne à rejoindre les BRICS, étant donné qu'elle ne satisfait pas aux critères requis pour faire partie de ce groupe d'économies performantes. Ni le Président Tebboune, ni le Premier Ministre, ni même le Ministre des Affaires Étrangères n'ont assisté pour affronter cet affront, en dépit des relations étroites avec le régime de Pretoria. Les choix des BRICS contrastent visiblement avec les aspirations affichées par Alger pour rejoindre un groupe avec lequel elle semble avoir peu de convergence.
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