Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, y assistera "dans un esprit d'ouverture et de dialogue, réceptif aux contributions des différents groupes parlementaires, confiant que l'accord et le consensus prévaudront dans toutes ces initiatives visant à consolider la croissance, à garantir les droits et à améliorer la vie des personnes, sans laisser personne de côté", selon le document présenté au Parlement.
L'exécutif justifie l'absence de débat au cours des deux ans et demi de la législature par la "succession sans précédent de situations défavorables", telles que la pandémie causée par le coronavirus, les incommodités environnementales extraordinaires - avec la mention expresse de l'éruption du volcan de La Palma - et la guerre en Ukraine.
Le gouvernement justifie sa gestion de toutes ces crises, "qui ont eu un impact direct" sur l'économie, par son engagement à "renforcer" l'État du bien-être.
La coalition du PSOE et de Unidas Podemos met en avant le revenu minimum d'existence, l'augmentation du salaire minimum interprofessionnel, la revalorisation des pensions et l'interdiction des expulsions de familles vulnérables, parmi les mesures adoptées depuis l'investiture de Sánchez en janvier 2020.
La réforme du travail est une autre des étapes soulignées par le gouvernement, qui s'avère décisive dans la réduction de l'emploi temporaire et précaire. L'Espagne est passée sous la barre des trois millions de chômeurs en mai, ce qui n'était pas arrivé depuis 2008.
En plus, le nombre d'affiliés à la sécurité sociale a atteint plus de 20 millions.
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