La nouvelle équipe, qui comprend 13 femmes et 14 hommes, a été dévoilée par le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, près d’un mois après la réélection d’Emmanuel Macron pour un second mandat.
Elle comprend de nouveaux visages alors que d’autres ministres sortants ont été maintenus dans leurs postes comme ceux de l'Économie et des Finances Bruno le Maire, de l’Intérieur Gérald Darmanin et de la Justice Eric Dupond-Moretti, ainsi que le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Clément Beaune.
D’autres membres de l’ancien gouvernement ont changé de portefeuille ministériel. Ainsi, Marc Fesneau, jusqu'ici ministre des Relations avec le Parlement, a hérité de l'Agriculture.
Olivia Grégoire laisse l'Économie sociale, solidaire et responsable pour prendre le porte-parolat du gouvernement, la ministre auparavant chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, a été nommée à la Transition énergétique, alors qu’Amélie de Montchalin, jusqu'alors ministre de la Transformation et de la Fonction publique, s'est vue propulsée à la tête du nouveau ministère de la Planification écologique et aux Territoires.
Gabriel Attal, porte-parole de l’exécutif sortant a, quant à lui, été promu au ministère des comptes publics. Aux Affaires étrangères, l’un des ministères clés, Catherine Colonna, actuelle ambassadeur de France à Londres et ancienne ministre des affaires européennes et porte-parole du gouvernement sous les mandats de Jacques Chirac, a succédé à Jean-Yves Le Drian.
Parmi les nouvelles figures de l'équipe gouvernementale, l'on cite notamment Pap Ndiaye, spécialiste de l'histoire américaine, qui a été nommé ministre de l’Education nationale, Rima Abdul Malak, conseillère auprès du président de la République, a pris les rênes du ministère de la Culture. Stanislas Guerini, délégué général de Renaissance, hérite de la Fonction publique.
Sébastien Lecornu a hérité du ministère des Armées, en remplacement de Florence Parly.
Le premier Conseil des ministres se tiendra lundi autour du président Macron, a indiqué par ailleurs le secrétaire général de l’Elysée.
Le nouvel exécutif sera confronté à un agenda national et international difficile avec la guerre en Ukraine, une inflation galopante et une croissance en berne.
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