L'un des cas les plus critiques est celui de la prison d'Ain Sebaâ, conçue pour héberger 3 800 détenus, mais qui en accueille actuellement 10 877. Cette situation soulève des préoccupations majeures concernant les conditions de vie des détenus, leur accès aux soins de santé, aux programmes de réhabilitation et de réinsertion, ainsi que des risques potentiels pour la sécurité et le bon fonctionnement des établissements.
La DGAPR exhorte ainsi les autorités à agir rapidement afin d'éviter des complications sécuritaires et humanitaires résultant de cette surpopulation carcérale. Les solutions envisagées devront aborder cette question cruciale de manière holistique pour garantir les droits et la dignité des détenus tout en préservant l'intégrité du système pénitentiaire du pays.
La DGAPR prévoit une hausse continue du nombre de détenus à l'avenir si les taux actuels de détention perdurent et que des mesures nécessaires et urgentes ne sont pas mises en place pour résoudre cette situation. Tout effort visant à introduire des peines alternatives ou des mesures pour réduire les détenus en attente de jugement pourrait contribuer à résoudre cette problématique.
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