Même si les clubs marocains ne sont pas les plus rentables, leur modèle reste efficace dans la dernière décennie ou en 2021, dans la mesure où ils concluent des contrats à prix bas ou avec des joueurs libres, avant d'en faire des transferts "avantageux", explique le rapport.
Les formations marocaines ont dépensé, au cours de la dernière décennie, 9,3 millions de dollars et réalisé des revenus de 51,7 millions de dollars, soit un bénéfice de quelque 42,5 millions de dollars, ajoute la même source.
La même politique, poursuit-on, s'est poursuivie en 2021 avec des bénéfices dépassant les 7 millions de dollars.
Le rapport a fait état de transferts de joueurs dans 16 pays arabes, à savoir le Maroc, la Tunisie, l'Algérie, l'Égypte, le Soudan, la Libye, l'Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats arabes unis, la Jordanie, le Koweït, l'Irak, la Syrie, le Liban, Oman et le Bahreïn, sur la base de données officielles de la FIFA via le système TMS.
Selon le rapport, les clubs arabes ont dépensé 1,454 milliard de dollars au cours de la dernière décennie pour s'accaparer des joueurs, tandis que la valeur des joueurs dont les contrats ont été vendus, s'élève à 549 millions de dollars.
Les clubs saoudiens arrivent en tête en termes de dépenses, note le rapport, selon lequel, les Emiratis sont deuxièmes, les Qataris (3èmes) et les Egyptiens (4èmes).
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