Le journal évoque ainsi une "passion que rien ne semble devoir éteindre, pas même le «stop-and-go» de deux ans de pandémie.
À peine les frontières du Maroc se sont-elles rouvertes le 7 février dernier que les demandes des voyageurs hexagonaux bondissaient. Une dynamique qui confirme, s’il en était besoin, “la place privilégiée du Royaume dans le cœur des Français, qui constituent 28 % des visiteurs étrangers, soit le plus important contingent de voyageurs, séduits par ce pays si proche, à trois petites heures d’avion, et si exotique”, souligne la publication dans un article mis en ligne sous le titre “Retour au Maroc: la folle énergie de Marrakech et Tánger.
"Mais le Maroc de mars 2022 n’est plus tout à fait celui de mars 2020", note le journal, ajoutant que le Royaume en a retrouvé les couleurs et la verve, comme l’a montré l’un des premiers événements post-ouverture, un festival international de storytelling revitalisant la tradition des conteurs de la place Jemaa el-Fna.
Ballets de calèches, processions de musiciens gnaouas et tourbillons des halqas ont signé le “retour à l’exubérance habituelle, loin des mornes images d’une esplanade désertée”, poursuit-on.
Le quotidien souligne les autres atouts de la ville Ocre, dont la médina qui est en chantier, faisant observer que le Royaume, avec un programme de rénovation de nombreuses médinas, entend valoriser son patrimoine et donner davantage envie d’aller dans ses centres historiques.
À la clef: une floraison de nouveaux musées. Dans la foulée de l’inauguration du Musée de la Kasbah à Tanger, une ancienne prison du XVIIe siècle métamorphosée en centre d’art contemporain, la Fondation nationale des musées (FNM) prévoit plusieurs ouvertures majeures en 2022, dont l’une consacrée à Jemaa el-Fna dans l’ancien bâtiment de la banque al-Maghrib à Marrakech, précise Le Figaro.
Outre ces réalisations ayant pour but d’accroître le rayonnement culturel du pays, des pépites privées sont mises en lumière par une effervescence artistique qui, malgré le nouveau report de la foire 1.54 d’art contemporain africain de Marrakech, ne se dément pas.
Les vents de modernité soufflent aussi sur la ville de Tanger, dont le journal met en lumière ses remparts historiques, sa méga-corniche piétonne qui longe la Méditerranée et sa marina alignant des lounges chics.
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