Aucune inscription ou revendication n'a été observée sur place, selon la maire de Saint-Orens-de-Gameville, Dominique Faure. "Il s'agit de vandalisme classique : des tables et des chaises ont été cassées ainsi que deux écrans d'ordinateurs", a indiqué la maire, ajoutant que le système d'alarme dont est dotée la salle associative transformée en centre de vaccination n'avait pas fonctionné.
Selon une source proche de l'enquête citée par les médias locaux, cinq cent doses de vaccin ont été détruites sur place.
Selon le ministère de l'Intérieur, depuis le 12 juillet, un total de 22 installations sanitaires ont été dégradées, dont cinq centres de dépistage, 15 centres de vaccination, un laboratoire d'analyse médicale et un pôle santé.
La mise en place d'un "pass sanitaire", restreignant l'accès à certains lieux pour les personnes non immunisées contre le Covid-19 ou non détentrices d'un test de dépistage y compris les restaurants, les cafés, les bars et les grands centres commerciaux, et introduisant une obligation vaccinale pour le personnel médico-social, a suscité une vive colère auprès d'une partie de la population.
Des dizaines de milliers de personnes manifestent chaque samedi depuis cinq semaines pour afficher leur opposition à cette mesure qu'elles jugent "liberticide".
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