Ce compromis, arraché dans la nuit mercredi, ouvre la voie à une baisse de 57% des émissions du Vieux Continent par rapport à 1990, en tenant compte d'un engagement de la Commission européenne à développer des "puits de carbone" naturels absorbant le CO2, comme les forêts et prairies.
"C'est un moment historique (...) L'accord renforce notre position dans le monde comme un leader du combat contre la crise climatique", s'est félicité Frans Timmermans, vice-président de la Commission.